Édifice
Créée pour un photographe, cette boutique conserve l'une des dernières vitrines Art Nouveau de Bruxelles. Elle a été remarquablement restaurée et mise en valeur.
Quartier
Grand place
Patrimoine immobilier classé de la Région bruxelloise
Pour aller plus loin
Inventaire du patrimoine architectural
La vitrine de La Marjolaine renvoie à la Chemiserie A. Niguet, rue Royale, dessinée par Paul Hankar, le maître de Léon Sneyers. Mais son style en diffère fortement car elle se rapproche de la Sécession viennoise. Toute la qualité de ce travail réside dans la finesse de l'utilisation du bois qui permet de réaliser un dessin élégant et géométrique, à l'instar de l’œuvre générale de son auteur. Ainsi s'allient lignes droites et une rosace ornée de vitraux qui marque le coin de l'ouverture.
Malheureusement, l'aménagement intérieur de ce magasin n'a pas survécu jusqu'à nos jours. Nous pouvons toutefois supposer qu'il devait ressembler à certains des autres magasins conçus par Sneyers.
À proximité
Du même architecte
Quartier
Grand place
Patrimoine immobilier classé de la Région bruxelloise Pour aller plus loin Inventaire du patrimoine architectural
Patrimoine immobilier classé de la Région bruxelloise Pour aller plus loin Inventaire du patrimoine architectural
La vitrine de La Marjolaine renvoie à la Chemiserie A. Niguet, rue Royale, dessinée par Paul Hankar, le maître de Léon Sneyers. Mais son style en diffère fortement car elle se rapproche de la Sécession viennoise. Toute la qualité de ce travail réside dans la finesse de l'utilisation du bois qui permet de réaliser un dessin élégant et géométrique, à l'instar de l’œuvre générale de son auteur. Ainsi s'allient lignes droites et une rosace ornée de vitraux qui marque le coin de l'ouverture.
Malheureusement, l'aménagement intérieur de ce magasin n'a pas survécu jusqu'à nos jours. Nous pouvons toutefois supposer qu'il devait ressembler à certains des autres magasins conçus par Sneyers.