Édifice
Architektur der freien neuen Schule, 1902, pl.63.
Façade (photo ca 1902)
Façade (photo ca 1902)
Ch. Bastin & J. Evrard © urban.brussels
Sgraffite, façade, deuxième niveau, façade (photo ca 1990)
Sgraffite, façade, deuxième niveau, façade (photo ca 1990)
Ch. Bastin & J. Evrard © urban.brussels
Sgraffite et vitrail, premier niveau, façade (photo ca 1990)
Sgraffite et vitrail, premier niveau, façade (photo ca 1990)
© KIK-IRPA, Brussels
Avenue Brugmann 55, Maison Les Hiboux, lucarne passante (1976)
Avenue Brugmann 55, Maison Les Hiboux, lucarne passante (1976)
© KIK-IRPA, Brussels
Avenue Brugmann 55, Maison Les Hiboux, façade (vers 1970)
Avenue Brugmann 55, Maison Les Hiboux, façade (vers 1970)
© Fondation CIVA Stichting Brussels
Avenue Brugmann 55, Maison Les Hiboux, porte et sgraffite (vers 1970)
Avenue Brugmann 55, Maison Les Hiboux, porte et sgraffite (vers 1970)
Parmi les demeures qui s’alignent le long de l’avenue Brugmann, le passant observateur remarquera, sur la maison voisine de l’hôtel Hannon, les étranges sentinelles postées de part et d’autre d’une lucarne dont les pinacles évoquent les aigrettes du hibou.
Patrimoine immobilier classé de la Région bruxelloise
Pour aller plus loin
Inventaire du patrimoine architectural
Fantaisie de l’architecte Édouard Pelseneer ou volonté du commanditaire, la présence de l’animal noctambule, symbole de connaissance et de lucidité, est rappelée en toutes lettres et en image sur le sgraffite surmontant la porte. Et l’œil rond du hibou trouve écho dans le dessin des châssis, qui garnissent des baies à arc légèrement outrepassé, ainsi que dans la ferronnerie du jour éclairant la cage d’escalier.
Dans les années 1970, le raffinement qui caractérise sa façade n’a pas protégé la maison d’un projet de démolition : avec ses voisines des nos 53 et 51, elle sert aujourd’hui de façade-écran à dix-neuf appartements bordant un jardin public en intérieur d’îlot.
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Dans les années 1970, le raffinement qui caractérise sa façade n’a pas protégé la maison d’un projet de démolition : avec ses voisines des nos 53 et 51, elle sert aujourd’hui de façade-écran à dix-neuf appartements bordant un jardin public en intérieur d’îlot.
