Édifice
Voici l’histoire d’une résurrection. Maçon et entrepreneur, Pierre Dricot commande en 1900 à Édouard Pelseneer un bâtiment devant abriter à la fois son logement privé et son activité professionnelle. L’architecte dessine une façade aussi originale qu’impressionnante.
Pour aller plus loin
Inventaire du patrimoine architectural
Sur la droite, une porte donne accès aux espaces privés des étages, tandis que sur la gauche, une large et haute porte cochère mène à l’arrière de la parcelle, où se trouvent une écurie et un hangar.
On imagine aisément combien le sgraffite monumental qui orne les étages a dû marquer les esprits dès l’origine ! Réalisé par Paul Cauchie, il figure différentes facettes du métier du commanditaire. Dans la composition, des échelles prennent littéralement appui sur la logette du premier étage et la terrasse qui la coiffe, comme une mise en abîme de la construction en cours.
Suite à une rénovation lourde réalisée dans les années 1980, la façade n’est plus que le reflet d’elle-même, jusqu’à ce qu’une restauration, achevée en 2017, lui rende ses couleurs et ses volumes d’origine.
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Suite à une rénovation lourde réalisée dans les années 1980, la façade n’est plus que le reflet d’elle-même, jusqu’à ce qu’une restauration, achevée en 2017, lui rende ses couleurs et ses volumes d’origine.